La Fainéantise [RP ouvert] /!\Hentaï/!\ [Inachevé]

Je commençais sérieusement à haïr ce bougre de directeur Oldross. Je ne savais franchement pas ce qui me retenait de le mettre six pieds sous terre et en pièces détachées. Alors certes, j'ai généreusement proposé de l'aider à mettre en place ses petites attractions (encore que, je ne sais vraiment pas quelle folie m'a poussée à accepter ce délire), mais là, c'était trop.

Qu'il me demande de l'aider à mettre en place un gigantesque labyrinthe de glace, d'accord. Qu'il me demande de faire en sorte que les individus à l'intérieur ne puissent pas trouver la sortie pendant une bonne période, je suis fondamentalement d'accord (d'autant que jouer ce genre de tours ne me déplaît pas). Qu'il me demande d'ériger plusieurs pistes de glisse pour permettre aux gosses et aux moins gosses de s'amuser, passe encore...

Mais qu'il me demande de passer le premier pour montrer à tous l'exemple... non. Et qu'il me pousse à l'aide de sa magie pour que j'y aille de force, encore moins. Lorsque je retrouverai cet imbécile, j'allais lui faire sa fête...

Enfin... Pour l'instant, je ne faisais que glisser nochalamment le long de la piste que j'avais moi-même préparée. Oh, par "nochalamment", je voulais dire que je m'étais érigé un trône de glace sur lequel je m'étais assis, les bras croisés sur mon ventre et mes jambes étendues et croisées sur un repose-pieds, tandis qu'un léger voile de ténèbres couvrait mes yeux afin que je puisse me reposer pendant toute la durée de la descente.

Et c'est donc ainsi que je glissai tranquillement.

Une explosion retentit en plein milieu du lieu de fête. Lorsque la neige retomba, la foule maintenant attroupée autour du lieu d’impact découvrit une petite succube à genoux, souriante, couverte de neige, un casque d’aviateur sur la tête et une écharpe autour du cou. Elle tenait sous ses bras deux petits sangliers.

« Dites, dites, dites, Nio cherche le labyrinthe, c’est par où ? »
« Le labyrinthe ? C’est trop tard pour le labyrinthe. »
« Hein ? Boooooouh ! Mais Nio pouvait pas avant, elle cherchait des amis pour pas y rentrer toute seule ! » Répondu la succube en indiquant les deux sangliers sous ses bras. « Nio fait quoi maintenant ? »
« Eh bien, on peut toujours les manger… Oh, et y a la piste de neige qui a ouvert, mais faut remonter tout là-haut. »

Le vieil homme indiqua le sommet de la piste à la succube. Les yeux soudain plein d’étoiles, elle ouvrit la bouche sans un mot. Le vieil homme en profita pour se saisir des deux petits animaux et s’enfuir en criant « oh oh oh ». Nio s’approcha un peu plus de l’arrivée de la piste. Si elle souhaitait la descendre, il fallait d’abord qu’elle monte tout en haut. Et elle connaissait le moyen le plus rapide et amusant d’y arriver. Se mettant en position au sol, elle déploya grand ses ailes et les rabattit violemment, la propulsant ainsi à toute vitesse en remonté le long de la piste. Volant en rase-motte, elle fit sortir une de ses griffes qu’elle fit trainer dans la neige pour marquer sa trajectoire. Le vent fouettait ses joues.

Elle prit un virage en épingle et son regard fut attirer par deux petits lapins tout mignons en train de forniquer sur le côté de la piste. Elle ne remarqua ainsi que trop tardivement qu’un obstacle se trouvait devant elle. Un homme assis sur une espèce de trône de glace descendait lentement le long de la piste. Elle essaya de mettre une main devant elle pour se rattraper mais ne réussis qu’à découper ce qui semblait être un bout de tissus. Utilisant ses ailes pour se ralentir, sa tête entra tout de même en collision avec quelque chose de mou et un corps long et flasque entra dans sa bouche.

Maintenant immobilisé sur le trône, celui-ci continuant sa lente descente, la succube releva ses yeux qui était au niveau de l’entre-jambe de l’homme vers le visage de celui-ci. Elle le reconnu instantanément.

« ‘e’ephim ! ‘a’ut ! 'u as 'an'ué a 'io ! 'a 'a ? » (Selephim ! Salut ! Tu as manqué à Nio ! Ca va ?)

La collision aurait pu être considérée comme violente si j'avais été un être mortel. Mais à ce stade, il aurait presque été possible que je ne sente rien et que je continue ma sieste paisiblement. Hélas, il a fallu que juste après le choc de la collision, je sente un coin chaud et humide autour de mes parties génitales. Relevant mon bandeau de ténèbres, j'étais bien loin de m'attendre à une telle scène...

Une succube était installée de telle manière à ce que ma verge tombe droit dans sa bouche. Qui plus est, je connaissais cette succube : Nio Diostia.

"‘e’ephim ! ‘a’ut ! 'u as 'an'ué a 'io ! 'a 'a ?"

Les yeux écarquillés devant cette scène pour le moins incongrue, je ne put retenir l'avalanche de questions et de remarques qui venait alors de prendre d'assaut mon esprit encore embrumé. Finalement, la première question qui me vînt à l'esprit fut la suivante :
"Mais... Mais comment est-ce que t'as fait ton compte pour tomber ainsi en plein sur ma verge ?"

Sûrement pas la plus importante des questions, me direz-vous, toutefois, en cet instant, cette question était d'une importance capitale.

« Mais... Mais comment est-ce que t'as fait ton compte pour tomber ainsi en plein sur ma verge ? »

La succube regarda le démon s’étonner de sa présence et réfléchit à une réponse. Tandis qu’elle réfléchissait à la réponse à donner, elle donnait instinctivement des petits coups de langue sur le « sucette » qu’elle avait en bouche.

« ‘ah ’io é’ai’… »

Réalisant qu’il était malpoli de parler la boucher pleine (et également difficile), Nio se dégagea et releva la tête vers le visage du démon des glaces.

« Bah, Nio était en train de voler tranquillement et pouf, Nio se… GLURG ! »

Le trône venait de passer sur une petite bosse et le choc refit tomber la tête et la bouche de la succube en plein sur la verge toujours dressée. Avalant presque entièrement le membre viril, Nio se dit que la position dans laquelle elle se trouvait n’était pas des plus confortables pour avoir une discussion avec un Lieutenant. Dégageant une nouvelle fois le pénis du fond de sa gorge, Nio entreprit d’escalader le trône pour s’asseoir sur les genoux de Selephim. C’était sans compter sur une nouvelle bosse sur la piste qui fit s’asseoir violemment la succube, s’empalant littéralement sur le membre brulant du démon du froid.

« Haannnnggnyaa~~~ ♥ C’est…. Hnnn… Bien plus confortable ♥… Assis comme ça… Gnnmm... ♥ »

La situation devenait de plus en plus confuse... Incompréhensible, même. J'avais décidé de participer à l'élaboration d'attractions pour le Nouvel An, dont une piste de glisse, et à présent que je glissai dessus, je me retrouvai avec une succube enfourchée sur mon membre ?

Les neurones dans mon esprit avaient du mal à se connecter les uns aux autres, se refusant à chercher une explication logique à cette situation. Je ne parvenais plus à réfléchir posément, et la succube poussant des gémissements de plaisir alors qu'elle bougeait activement sur mon sexe n'arrangeait pas les choses.

Et après une bonne quinzaine de secondes à tenter de trouver un sens à tout cela, mes neurones se déconnectèrent. Tout simplement. J'étais venu sur cette piste pour me détendre, et éventuellement faire une sieste. Pourquoi est-ce que je changerai mon programme ?

Haussant les épaules et remettant mon bandeau de ténèbres, je fermai de nouveau les yeux en laissant la succube prendre du plaisir pendant que je continuais mon moment de détente.

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