Un retour et une rencontre [PV Sorano Stroyn]

Après plusieurs années de voyages et d'aventures dans divers endroits de Dilysia ainsi qu'à l'approche du dixième anniversaire de la mort de son ex mentor, Faltsolph Ancalwen sentit monter en lui une soudaine envie de retourner à Myth afin d'apprendre ce qu'il est advenu de ses anciens camarades. Il se dirigea donc vers cette ville où il avait vécu une partie de son enfance pour y redécouvrir ses origines. Durant toutes ces années où il était en voyage, l'idée de revenir à Myth ne lui était jamais venue à l'esprit, Faltsolph préférant de loin découvrir et apprendre plutôt que rendre visite à ses ex-camarades.

Alors qu'il arrivait enfin dans la ville, la première chose qu'il constata fut les nombreux changements que la ville et ses alentours avaient subi. Rien ou presque ne correspondait à ses souvenirs, mais le fait qu'il soit assez peu allé au "cœur" de la ville ainsi que son jeune âge lors de son départ a du pas mal jouer. Ne sachant pas où trouver ses anciennes connaissances et voulant redécouvrir la ville, Faltsolph pris la décision de simplement vagabonder dans les rues de Myth, dans l'espoir de croiser quelqu'un qu'il pourrait reconnaitre.

Après plusieurs heures de marche à travers la ville sans croiser la moindre tête connue, Faltsolph soupira.

"Est-ce que je vais croiser au moins une seule personne dans cette ville que je connais ?"

Et alors qu'il était perdu dans ses pensées, il heurta par accident une jeune femme au coin de la rue, la faisant tomber au sol. Il s'empressa de l'aider à se relever et il s'excusa.

"Ah ! Vraiment désolé, je pensais à autre chose et je ne regardais pas devant moi ! Vous allez bien ?"

Alors qu'il aidait la jeune femme, il l'observa. C'était une très belle femme, elle devait avoir à peu près le même âge que Faltsolph et portait des vêtements assez peu couverts pour la saison. Faltsolph remarqua aussi le Katana qu'elle portait à la ceinture, cet accident pourrait devenir dangereux si la jeune femme a un tempérament agressif ... Faltsolph, sans pour autant sourciller ou se mettre en position de défense, se prépara mentalement au cas où il y aurait un affrontement.

Une belle nuit c'était passez, quelques tours dans les tavernes du coin, offrant en quelques sorte mes services toute en me nourrissant, je n'avais pas vu le matin se lever, je sortis d'une chambre, laissant derrière moi les hommes dont je m'étais occupée, me promenant dans les rues un sourire aux lèvres, à la limite de sautillé, quand d'un coup, dans le coin d'une rue, ce fut le choc, j'étais rentrer dans quelqu'un avant de tomber sur les fesses, les foureau de mon katana fit lui aussi un bruit sourd a l'inpacte sur le sol, je le vis ensuite rendre la main pour m'aider à me lever, je la saisie donc et me leva avant de retirer la poussière et les saletés sur moi, je repris mon sourire puis m'addressa a l'homme devant moi.

-Je vais bien oui, mais mieux vaut regarder devant soi, aurais pus vous faire mal aussi.

Je le regardais ensuite plus en détail, c'était un homme plutôt jeune, une barbe peu taillé, une arme à la ceinture, mais ce n'est pas un chevalier, ni quelqu'un de l'armée a première vu, je n'avais donc rien à craindre en apparence, si toute fois c'est bien un humain, rien ne me disais que ce n'était pas une autre personne cachant son identité sous une sorte de masque, je devais donc rester dans la prudence.

- Vous allez quelque part ? Si vous voulez je peu vous guidez, ai l'habitude de cette ville depuis un moment maintenant, mais vous n'éte pas obliger d'accepter bien-sûr.

PS:

Après l'avoir aidé à se relever, Faltsolph l'examina de plus belle. Décidément, cette jeune femme avait quelque chose de particulier qui l'attirait. À cette pensée, Faltsolph se remémora que certaines femmes usait de charmes et petits artefacts magique forçant l'attirance. Mais il se ravisa, il devait simplement être trop sur ses gardes par simple habitude.

-Je vais bien oui, mais mieux vaut regarder devant soi, aurais pus vous faire mal aussi.

- Oh ne vous inquiétez pas, je suis solide.

Le fait que la jeune femme puisse penser qu'une simple bousculade puisse le blesser ou lui faire le moindre mal l'étonna un peu, car elle était plutôt fine. Mais Faltsolph s'avisa de ne pas le prononcer à voix haute.

- Vous allez quelque part ? Si vous voulez je peu vous guidez, ai l'habitude de cette ville depuis un moment maintenant, mais vous n'éte pas obliger d'accepter bien-sûr.

La proposition était tentante, d'autant plus qu'il ne savait pas le moins du monde où il allait dormir. Mais cette soudaine proposition et gentillesse éveilla aussi un léger soupçon en lui. Il avait récemment entendu dire que des jeunes femmes séduisaient des hommes sur les places et dans les rues pour les attirer dans un traquenard à l'écart des regards. Bien que la présence du katana à la ceinture de la jeune femme semblât contrer cette hypothèse, on attire moins bien les gens lorsque l'on a une arme à la ceinture.

- C'est très gentil à vous. À vrai dire, je viens d'arriver en ville après plusieurs années d'absence et je dois dire que je ne reconnais rien, j'accepte donc volontiers votre aide. Je suis revenu à Myth pour tenter de retrouver d'anciennes connaissance, mais je ne les ai pas vus depuis un peu plus de 10 ans.

Malgré ses soupçons, Faltsolph décida de suivre la jeune femme, au pire, il avait déjà été attaqué par surprise dans la nuit par plusieurs bêtes féroces et s'en était sorti pratiquement indemne.

Cette homme semblais si étrange, l'expression de son visage le tromper sur le long de sa phrase, je voyais une certaine mise en garde à lui même après son observation, cela me fis sourire rien que d'y penser, rien ne me disais qu'il n'avait pas mentie en disant chercher des amis qu'il n'a pas vu depuis 10 ans, surtout que la ville à bien changer depuis, je partais donc à droite et à gauche, ne prenant que des chemins remplie de monde et par des marchés, je trouverais peut-être une petite chose pour plus tard sur les étales, puis, je me tourna a nouveau vers l'homme mystérieux.

Au faite, je ne connais pas votre nom, moi je m'appelle Sorano Stroyn, je travail dans des auberges un peu partout quand l'envie me viens. Disais-je avec un grand naturel avant de m'intéresser à un petit collier en topaze.

Les bijoux, aucune femme n'y résiste, même pas une succube comme moi, à vrai dire, je me disais que je passerais plus tard pour l'acheter, je devais bien guider l'homme à travers la ville, au moins l'emmener en centre ville affin qu'il puisse mieux se repérer, et pouvoir ainsi savoir où se trouve ces ami, même si en 10 ans, il y a peu de chance qu'il les revois, me perdant dans mes penser, je me disais aussi "pourquoi ne pas en apprendre plus avec lui ?"

Tout en suivant la jeune femme, Faltsolph Ancalwen observa les alentours et tenta de mémoriser un plan des rues principales. Les choses semblaient bien se passer et Faltsolph se détendit quelque peu, l'attitude de la jeune femme le mettait à l'aise. Au détour d'une étale, alors qu'il observait du coin de l’œil un vieux grimoire posé nonchalamment dessous une pile d'autres babioles habituelles pour un marchand, la jeune femme l’interpelât.

Au faite, je ne connais pas votre nom, moi je m'appelle Sorano Stroyn, je travail dans des auberges un peu partout quand l'envie me viens

La question avait le mérite d'être posée, et Faltsolph pensa pour lui-même que le nom de Sorano lui plaisait, bien qu'il ne se fît pas d'illusion sur la durée relativement courte d'une demi-journée où il s'en souviendrait correctement. Il nota aussi intérieurement que la profession qu'elle pratiquait avait sans le moindre doute un rapport direct avec son magnifique corps, mais Faltsolph n'était pas particulièrement intéressé par ce genre de chose et préféra éviter le sujet.

- Je m'appelle Faltsolph Ancalwen, je suis principalement un vagabond qui loue mes services pour gagner mon pain. J'évite Myth en temps normal, mais j'ai récemment eu envie de savoir ce qu'il était advenu de mes anciens camarades.

Faltsolph tourna la tête en répondant à la question de Sorano et se rendit compte qu'elle examinait un collier en topaze avec de l'envie dans le regard. Le fait qu'elle se comporte comme n'importe quelle jeune femme en présence de bijou amusa quelque peu Faltsolph, il pensa que si le prix dudit collier n'était pas trop élevé, il pourrait l'offrir à Sorano en remerciement pour son aide.

Je continuais ainsi a regarder le collier toute en écoutant ce que l'homme disait, il s'appelait donc Faltsolph, un nom peu commun dans le coin, mais ce qui tourna dans ma tête, c'était de savoir pourquoi il évitait Myth, peut-être des mauvais souvenir, ou autre chose, enfin, les affaires privé des gens ne me regarde pas, de plus, ce collier, je le voulais, mais sans les moyens je n'aurais rien, je me résigner donc et repris ma marche, je n'étais pas de la haute classe social, ni dans les grandes richesses, par habitude, j'aurais emmener le marchant plus loin chez lui et je l'aurais eu gratuitement, mais la, j'étais accompagner et ne pouvait donc pas faire ce genre de chose, un soupire venait traverser ma gorge baissant un peu la tête avant de me rediriger a nouveau vers les quartiers militaire, j'avais déjà eu l'occasion de m'y promener un peu, la sécurité bien renforcer depuis le temps, mais on pouvait voir quelques faille avec le temps, des gardes manquants, des changements de zrdes trop long, fatiguant beaucoup ceux postés depuis des heures, ou encore une personne faisant la sieste, en fois au centre de ce quartier, on pouvais bien voir l'aspect militaire, je me tournais donc vers Faltsolph et sourit à Faltsolph.

- Je ne sais pas si ces l'endroit que tu cherche, mais ces un début pour chercher des "ami" qui auraient la même carrure que toi, faudra visité le quartier marchant et enfin les bas quartier, j'espère que tu est endurant.

Je continuais de sourire rien que d'avoir dit ça, il avait du voir pire que de la simple marche à pied, je supposais donc qu'il ne pouvait pas craindre grand chose dans les bas quartier de toute manière, les seul chose étant les petits bandits et escros à éviter, rien de bien dangereux pour lui, tout du moins si il sait ce battre, je n'aurais pas vraiment de problème avec mon arme qui sert déjà de dissuasion pour certains hommes d'essayer de s'approchait, mais je sais aussi m'en servir.

Alors que Sorano reprit son chemin, Faltsolph regardé discrètement le prix du collier. À la vu de celui-ci, Faltsolph grimaça intérieurement, mais acheta rapidement et discrètement le collier. Il lui restait suffisamment de ressource et si les pierres précieuses se vendait ici à un prix aussi fort, il pourrait tenir facilement quelque temps encore. En suite Faltsolph suivit Sorano qui le dirigeait vers les quartiers militaires.

- Je ne sais pas si ces l'endroit que tu cherche, mais ces un début pour chercher des "ami" qui auraient la même carrure que toi, faudra visité le quartier marchant et enfin les bas quartier, j'espère que tu est endurant.

À cette dernière remarque Faltsolph esquissa un bref sourire en coin, la jeune femme ne devait pas avoir la même notion d'endurance que lui. À cette dernière pensé Faltsolph se remémora ses nombreux voyages, notamment lorsqu'il s'était perdu dans une chaîne de montagnes au nord-ouest d'Elesia, il y avait erré pendant des jours et des jours sans pouvoir dormir ou manger. Cette expérience lui avait appris beaucoup de choses, notamment à toujours garder beaucoup de provisions.

- A vrai dire je ne pense pas que mes connaissances aient le même genre de carrure. La plupart ont dû arriver à Myth à peine âgée d'une dizaine d'années et ont surement vagabonder les rues. Je ne me fais d'illusion sur le fait que la grande majorité est soit morte de faim, soit devenu des brigands. Mais je n'en sais pas grand chose, pour être franc, je ne suis même pas sur de les reconnaitre.

À ces mots, Faltsolph marqua une courte pause réfléchissant pour la première fois depuis qu'il était de nouveau dans Myth à ce qu'il prévoyait en suite.

- Je pense que le mieux serait, si possible, que tu me montre où se trouve le marché ainsi que les bas quartiers puis que tu me conseille une bonne auberge. Après cela, je pense que je pourrais me débrouiller. En tout cas merci pour toute l'aide que tu m'a déjà apporté.

En finissant sa phrase, Faltsolph commença à scruter les alentours, il observa la garde qui n'avait pas l'air très dangereux voir même utile, mais pas au point qu'une jeune femme se promène avec un sabre à la ceinture. Avec la reprise de ses pensées et de sa réflexion, Faltsolph commença à s'interroger sur la présence d'une telle arme, mais n'en parla pas dans la conversation, le sujet pouvait porter de nombreux risques.

Je continuais donc de marcher en sa compagnie un petit moment, faisant le tour du quartier militaire avant d'arrivé au quartier marchant, celui-ci regorgeant alors de tout et de rien, des gens criant a plein poumons a travers les rues, je n'aimais pas trop l'endroit du a autant de bruit, même si je trouvais souvent beaucoup de chose intéressante, comme le katana que je porte et qui me sert de temps en temps contre les gens que je préfère tenir à distance, j'avais remarqué aussi que mon compagnon du jour avait vu ma façon de me vêtir, ainsi que l'arme que je porte, il devait donc ce poser quelques questions, ce que je pouvais comprendre, mais, avant que je n'ouvre la bouche, il me demanda de lui montrer la directions du dernier quartier ainsi qu'une bonne auberge, je n'en avais pas en préférence, mais je devais tout de même y réfléchir avant de répondre.

- Et bien, je préfère t'accompagner pour le reste dans la ville, juste pour que tu ne puisse pas te perdre. Disais-je avec un petit sourire aux lèvres. Pour ce qui est de l'auberge, ça dépend, plus tu approche du centre de la ville, plus ce sera chère, je travail au hasard donc je paye rien à chaque fois moi.

Je continuais de la regarder, me demandant ce qui pouvait le motiver à revenir, ce ne devait pas être que "revoir des anciens ami", il devait y avoir autre chose, mais allez savoir quoi, ma curiosité mise à rude épreuve encore une fois.

- Je tes vu me regarder de haut en bas, je porte un katana sur moi tout le temps, simplement pour me défendre en cas de problème, pas pour attaquer si cela peu te rassuré, mais j'ai aussi un secret lié à ça. Faisant un petit clin d'oeil avant de me remettre à marcher.

Sorano montra à Faltsolph l'animé quartier marchand où vendeurs de fruits, légumes, viandes et épices se mélangeait sans gène aux marchands d'armes, libraires, bijoutiers et autres étals typiques de ce genre de place. Tandis qu'elle semblait flâner nonchalamment le long des étals, quelque peu déranger cependant par le brouhaha ambiant habituel, Sorano parla à Faltsolph avec un léger sourire aguicheur.

- Et bien, je préfère t'accompagner pour le reste dans la ville, juste pour que tu ne puisse pas te perdre.
Pour ce qui est de l'auberge, ça dépend, plus tu approche du centre de la ville, plus ce sera chère, je travail au hasard donc je paye rien à chaque fois moi.

Faltsolph nota mentalement la façon dont la hiérarchie avait détint sur la ville, les couches des différentes classes sociales se répartissant en cercles concentriques avec les plus pauvres éloigné du centre plus riche. Cette façon qu'avaient les riches de toujours mettre les classes moyennes entre eux et les mendiants, comme une sorte de bouclier, avait toujours amusé Faltsolph.
Il remarqua par ailleurs que la jeune femme l'examinait et semblait vouloir demander quelque chose.

- Je tes vu me regarder de haut en bas, je porte un katana sur moi tout le temps, simplement pour me défendre en cas de problème, pas pour attaquer si cela peu te rassuré, mais j'ai aussi un secret lié à ça.

Bien que légèrement surpris que Sorano évoque d'elle-même le katana, Faltsolph ne se laissa pas décontenancer et remarqua la fin de la phrase : 'mais j'ai aussi un secret lié à ça'. Le secret de la jeune femme piqua à vif la curiosité de Faltsolph, mais il ne le montra pas. De même qu'il n'afficha pas sur son visage son léger étonnement dû au fait qu'elle avait compris qu'il cachait quelque chose. Faltsolph décida d'éviter la question sous-entendue, voulant éviter de tomber dans une lutte verbale et psychologique où chaque adversaire s'analyse afin de percer le secret de son concurrent le premier.

- Je pense que je vais opter pour une auberge simple, entre 50 et 200 pièces de cuivres la nuit, repas compris. Quels genres de problèmes peut bien avoir une aussi belle jeune femme que vous dans une vile civiliser et garder comme Myth ?

Bien évidemment Faltsolph se doutait de la réponse, mais cette question permettait d'orienter le sujet vers les problèmes de la jeune femme. Et Faltsolph savait d'expérience que les femmes adoraient parler et se plaindre. Ainsi, il pouvait éviter de trop se révéler.

Il avait bien ignorer la chose, évitant de me répondre, mais même sans expression, tout le monde a la curiosité à vif quand une personne parle de secret, cela m'amuser bien, je connaissais les hommes depuis un bon moment, vivant presque comme eux chaque jours qui passe, observant les réactions, les centres de discutions, ou même, juste m'amuser à les faire tourner en rond, je voulais m'amuser et donc, me posant la question du "pourquoi une si belle femme doit-elle porter un katana", je lui répondrais une chose, qui bien-sûr ne lui montrerais pas mon petit secret, dire à un humain que je suis une succube, et puis quoi ? Renoncer aux auberges aussi ?, je pris donc à nouveau la paroles et le regarder avec un sourire.

- J'ai un Katana simplement pour me défendre dans les bas quartiers, ces pas très bien protéger là-bas, je pense que tu peu comprendre, surtout avec ce que je fais.

Me tournant alors à nouveau vers la route devant moi, à la limite du sautillement, bien amuser par la situation, je me demander aussi une chose, résistera t'il longtemps aux charmes passif de succube ? Ou bien simplement n'est t'il pas intéresser par les femmes, ce serais bien la première fois qu'un homme me dise qu'il n'aime pas les formes de mon corps, ce serait peut-être même un peu vexant.

La réponse de Sorano était bien celle à laquelle Faltsolph s'attendait, mais elle n'enchaîna pas sur ses problèmes quotidiens. Elle préféra simplement se retourner et continuer sa route. Là encore, Faltsolph fut fortement attiré par la jeune femme, mais il contrôla ses pulsions et reprit très rapidement le contrôle de lui-même. Il ne douta plus alors de la présence d'un charme ou d'une magie particulière pour charmer les hommes. Faltsolph décida alors d'activer une amulette qu'il gardait sur lui. Il l'avait trouvé dans une ruine et selon la traduction qu'il avait réussi à faire des écritures présentes autours, cette amulette était censé offrir une protection mineur contre les sorts directement dirigé sur une personne. Bien qu'il n'avait aucune réelle certitude de l'effet ou de l'efficacité de l'amulette. Faltsolph espérait qu'elle l'aiderait au moins à être plus vigilant et ne pas tomber dans l’attrayant piège se trouvant en face de lui. Mais afin d'éviter les soupçons, il préféra glisser à nouveau un petit compliment, afin qu'elle le croie sous son charme.

- En tout cas vous êtes extrêmement gentille de m'aider comme cela. De plus, j'admire votre force de caractère, une aussi belle jeune femme que vous qui maniez les armes, c'est très rare. Vous vous y connaissez en combat ?

Bien que plutôt nonchalant en surface, Faltsolph se remémorait en réalité ses aventures passées. Il en avait eu très peu, la plupart ne durant que quelques jours, toutes purement platoniques. Sauf l'une d'entre elles. À Palandaliel avec une elfe. Cette relation avait duré plusieurs mois et avait été assez intense. Mais dès que l'elfe et Faltsolph décidèrent de passer à une relation plus charnelle, de nombreux problèmes s'étaient posés. La relation avait fini pour les deux avec un goût amer et se la remémorer permettait à Faltsolph d'éviter à nouveau ce genre de problème.

Je l'écoutais toujours, marchant sans ralentir mon rythme, puis, sa question m'interpellas brièvement, si je savais me battre ? Je porte une arme, je suis toujours seul dans les rue avec celle-ci, et je ne serais pas me battre ? Pour moi, cela étais une question plutôt bête ne valant pas la peine de répondre, j'étais aussi un peu véxer pas la question, faisant la moue, ne prenant même pas la peine de tourner la tête pour le regarder, pour qui se prenait-il ? Placer un compliment puis me faire ça, j'étais bien mise dans mes pensées, ne sentant pas l'effet de l'amulette sur l'instant.

Après quelques minutes dans mon silence, je finis pas me poser sur une caisse du coin pour reposer un peu mes jambes, marcher beaucoup, ce n'étais pas tellement mon fort, malgré ce que je faisais la nuit, puis, je remarquais enfin l'action de l'amulette, une sorte de chose que je n'aimais pas tellement et qui empêcher mon pouvoir de bien fonctionner proche de celle-ci, je secouer alors la tête puis, retenant dans le silence, je me demander si il avait découvert mon origine, comment l'aurait-il su ? Ou encore, si j'avais laissais voir quoi que ce soi, je devais donc me faire prudente, et bien-sûr, envisager qu'il essaye de se battre, prête à prendre mon katana rapidement au cas où.

Alors que Sorano s’arrêtait pour faire une pause et se reposer, Faltsolph remarqua à ce moment qu'elle semblait contrarier. Était-ce à cause de la fatigue ? Faltsolph en doutait. Le visage de Sorano semblait plus vexer qu'exténuer. Par ailleurs, elle semblait gêner par quelque chose, Faltsolph devina que cela devait venir de l'amulette. Il n'était pas sure et certain de ces effets, notamment annexes. Faltsolph remarqua que la jeune femme s'était par ailleurs mise sur ses gardes, quelque chose clochait et Faltsolph en était désormais persuadé. Ne pouvant plus éviter le sujet désormais, il se prépara à l'éventualité d'un combat. Puis il posa la question qui le taraudait depuis un certain temps, certain que quelle que soit la réponse, elle changerait beaucoup de choses.

- Hum, Vous semblez gêner Sorano, je ne pense pas que je puisse éviter le sujet plus longtemps alors je vais poser ma question. Avez-vous des connaissances en magie ? J'ai remarqué que vous utilisiez une sorte de charme, de sort particulier censé vous rendre plus attirante. Je ne doute pas que cela puisse vous être très utile, mais je ne souhaitais pas tomber dans le panneau. J'ai alors activé une amulette que je porte, censé perturber, voir même contrer ce genre de sort. Elle vous gène n'est-ce pas ? Vous devez donc avoir une perception de la magie.

Faltsolph marqua une courte pause puis tendit lentement ses mains ouvertes vers Sorano pour montrer qu'il n'était pas dangereux et ne comptait pas attaquer. Bien qu'en réalité, il était prêt a sortir ses armes à tous moment si jamais elle venait à l'attaquer.

- Je ne souhaite pas me battre avec vous, vous m'avez été très sympathique et m'avez aidé. Je, vous demanderez simplement de jouer franc jeu avec moi et de répondre simplement à ma question. Si vous ne le souhaitez pas, dîtes-le aussi et nous nous séparerons comme cela, sans inutiles effusions de sang. Voici ma question donc : avez-vous des connaissances et une maitrise de la magie ? Si oui, pourriez-vous simplement arrêter de l'utiliser contre moi ? Dans un tel cas, je stopperais mon amulette et nous pourrions reprendre là où nous nous en somme arrêté sans le moindre souci.

Faltsolph, sur le qui-vive, attendait la réponse de Sorano.

Spoiler:

Je continuais de le regardais, apparemment, il ne savait pas ce que je suis, mais je ne pouvais pas pour autant arrêter mon pouvoir comme un claquement de doigt, ce serait bien trop simple, il n'y avait qu'une solution, malgré le danger qu'elle représente, me levant avant de me mettre face à lui, le regardant droit dans les yeux, pouvais-je avoir une confiance en cette personne, voir comme l'autre homme que j'avais vu avant, reculant ensuite dans la ruelle derrière moi.

- Je veux voir si je peu te faire confiance, suis moi s'il te plaît.

Arrivant au bout de la ruelle, attendant de voir s'il allait venir ou bien partir de lui même, qu'importe le résultat, il n'y aurait que deux réponses possible, impossible de reculer, peut-être que je pourrais lui dire ma vrai nature.

La situation dura plusieurs longues minutes, puis Sorano sembla relâcher un peu sa tension et se leva. Faisant face à Faltsolph, elle le regarda dans les yeux et sembla s'interroger intérieurement. Faltsolph, quand à lui n'avait pas bouger ses mains, montrant toujours son désir de ne pas engager un combat.

- Je veux voir si je peu te faire confiance, suis moi s'il te plaît.

Après ces mots, Sorano s'engagea dans la ruelle derrière elle. Faltsolph hésitait, en soit la situation avait finis par revenir à ce qu'il avait pensé de base. Elle l'attirait vers une ruelle sombre et arriérée. Mais elle ne l'y attirait clairement pas pour les raisons auxquelles avait pensé Faltsolph. Il réfléchit intensément, il pourrait la suivre, il en avait pour le coup très envie, car cela lui permettrait surement de découvrir ce secret qu'elle cache. Seulement cela risque aussi d'attirer à Faltsolph de nombreux problèmes annexes. Lorsqu'elle fut totalement enfoncée dans la ruelle, Faltsolph baissa ses mains et sortit de son sac de voyage un carnet de notes, son carnet de notes. Alors qu'il feuilletait rapidement ses pages, il tomba sur une maxime de son ancien mentor.

" Lorsque tu cherches une chose cachée, que tu souhaites découvrir un secret ou résoudre une énigme, penche-toi vers les autres mystères de ce bas-monde. Découvrir d'autres vérités cachées t'aidera sans le moindre doute à mieux comprendre l'ensemble et donc, à résoudre ta quête."

Alors qu'il se remémorait ces mots et leurs profonde signification, Faltsolph souris, et avec son sourire tranquille au lèvres, il s'avança dans la ruelle à la suite de Sorano.

Je le regardais venir, puis, restant face à lui, fermant les yeux un moment, puis, les ouvrant à nouveau, je me disais alors qu'il n'y avait qu'un choix possible, sortant mon katana avant de lui tendre, j'allais lui faire une sorte de pacte afin qu'il ne dise pas ce que je suis, ce serait un minimum de sécurité, le pacte du sang, un pacte qui ne peu se rompre, si il y a non respect, toute la ligné de sang de la personne en serait affecter, une chose importante, mais indispensable si je voulais un minimum de sécurité.

- Je voudrais que tu fasse un pacte de sang, je veux m'assurer que tu ne dise rien de ce que tu verras ensuite, tu a tout droit de refuser, mais si je te montre sans se pacte, tu connais la suite.

Le regardant toujours, le poignet de mon katana tendu vers lui, soit il accepte, soit il refuse, tout dépendait de lui, préfère t'il prendre le risque ? Ou alors ne pas le prendre et ne rien savoir, surtout que sous la vrai forme, son amulette ne serait pas assez puissante, me limitant sous ma forme humaine, n'ayant pas vraiment le choix après tout.

Alors que Sorano attendait Faltsolph dans la ruelle, elle semblait plongée dans une profonde réflexion. Rapidement, elle sembla prendre une décision et sortit son Katana sans aucune agressivité.

- Je voudrais que tu fasse un pacte de sang, je veux m'assurer que tu ne dise rien de ce que tu verras ensuite, tu a tout droit de refuser, mais si je te montre sans se pacte, tu connais la suite.

Faltsolph hésita, un pacte de sang est, selon ses connaissances, un pacte magique reposant sur une magie tribale dont l'origine est pour certains, démoniaque. Alors qu'il réfléchissait et rassemblait les diverses informations qu'il possédait concernant ce type de magie, Faltsolph pressenti un léger accroissement de l'aura magique de Sorano. Il en conclut sans difficulté que le secret qu'elle gardait été clairement en lien avec la magie. Faltsolph pensait avoir au moins des connaissances de base concernant la plupart des types de magie recensé, mais il se rendit rapidement compte qu'il allait devoir demander plus d'information avant de prendre toute décision.

- Hum... Je connais un peu le principe du pacte de sang, mais avant de prendre toute décision qui m'engagerait à vie ainsi que tous mes descendants, j'aimerais en savoir plus sur les termes précis du pacte que tu me proposes. Que veux-tu exactement et que comptes-tu offrir en échange ? Je ne suis pas un fou et je ne prends pas la magie à la légère. Ce genre de pacte est lourd de conséquences et d'implication alors j'espère que tu comprendras que je ne peux pas accepter sans être certain de ce que je fais.

Alors qu'il prononçait ces mots, Faltsolph cessa de sourire et planta son regard droit dans celui de Sorano. Faltsolph était déterminé à faire les choses jusqu'au bout, mais correctement, sans malentendu ou entourloupe.

- La seul condition sera de ne rien dire aux personnes autour de toi, en échange, je te montre pourquoi je ne peu pas arrêter cette "magie", il n'y a aucun coup dans l'ombre, tu eu aussi refuser, comme tu vois, je n'oblige à rien, mais ton amulette risque de se briser si cela continue.

Le regardant encore dans les yeux, je n'avais aucune raison de mentir, s'il voulait voir ma vrai forme, il aurait juste à faire le pacte, je ne lui demanderais de ne rien dire aux personnes qui l'entoure, de toute façon, je savais qu'il pouvait refuser s'il le voulait, mais que si il accepte, le pacte ne pourrait être rompu, puis, augmentant encore un peu l'aura que j'avais, l'amulette se briserait, et donc, il n'aurait plus aucune utilité, qu'allait-il faire ? la curiosité venait prendre de plus en plus de place dans mon esprit.

- Tu peu aussi demander quelque chose de ma part si tu le souhaite, je ne demanderais rien d'autre que ton silence sur se que tu verras.

Peut-être que avec ceci en plus, un condition à lui, il pourrait accepter, il pourrait demander ce qu'il veux, le pacte serait absolu, profitera t'il de cette occasion ? ou bien n'en fera t'il rien ?

Faltsolph réfléchissait intensément. Il doutait que Sorano lui mentît ou lui tendît un piège. De plus, Faltsolph était de plus en plus curieux du secret de Sorano car il déduisit de ce qu'elle avait dit que son pouvoir n'était pas volontaire. Faltsolph extrapola même que cela devait être inné et indépendant de la volonté de Sorano et Faltsolph pensa que cela provenait d'une malédiction, probablement héréditaire. Il pensa même que cela été lié au fait qu'elle savait ce qu'était et pouvait faire des pactes de sang. Tout en pesant le pour et le contre, Faltsolph observa Sorano, tout dans sa posture, son regard, semblait montrer qu'elle était déterminée et sincère. Le contrat actuel était plutôt avantageux pour Faltsolph, il doutait de plus que connaitre le secret de Sorano lui attirerait tant d'ennuis que cela, vu l'ardeur avec laquelle elle le défendait.

- J'accepte. Mais avant de me dévoiler ton secret, j'aimerais savoir, as-tu déjà entendu le mot "Ancalwen" avant aujourd'hui ?

Alors qu'il posait sa question, Falstolph tendit la main et saisi le sabre. Il ne l’attira pas vers lui, mais le maintien dans la même position, au centre des deux protagonistes. Il attendait la réponse de Sorano ainsi que ses instructions concernant le pacte de sang.

Mon regard se porta sur la lame de mon katana, la main de Faltsolph dessus, je mis ensuite la mienne serrant légèrement pour y mettre quelques gouttes de sang, le pacte allait se finir, mais la question interrompu la chose, toute questions devait être poser avant de fini, remontant alors mon regard dans celui de Faltsolph, je lui répondit avec un grand calme.

- Ce mot ne me dit rien, mai si tu veux me le dire je ne serais pas contre.

Le pacte fut ensuite sceller, reposant ensuite mon autre main sur le poignet du katana, retirant ensuite la main de Faltsolph avec précaution, puis, je le rangea dans mon fourreau, comme convenue dans le pacte, il peu voir ma forme de succube et non cette façade qui es ce corps humain? laissant mes ailes et ma queue apparaître, puis, me posant a nouveau sur une caisse, l'amulette de faltsolph ne pouvant résister à la pleine magie exercer sous ma forme, elle finis par se briser, n'offrant aucune protection, mais il était plus facile pour moi de contrôler sous cette forme, essayant de réduire considérablement l'effet sur lui.

- Voila ma vrai forme, je suis une succube, je ne suis pas le genre de succube à aimer tuer je te rassure, je prend juste se que j'ai besoin, en laissant en vie le gens, je ne sais pas ce que tu pense en ce moment mais si tu veux poser des questions, je t'en pris, nous sommes lié par le pacte, donc je sais que tu ne dira rien.

Alors que le pacte fut enfin scellé, Sorano révélas sa vrai forme. Elle possédait des ailes de chauves souris, des cornes et une queue. Faltsolph ressentit aussi l'aura grandement s'amplifier, au point de surcharger l'amulette et de la briser. Alors qu'il détaillait la nouvelle apparence de son interlocutrice, il s'interrogea sur bien des choses concernant les êtres démoniaques. Il avait entendu parler de tels êtres et de leurs opposés divins mais n'en avait jamais croisé auparavant.

- C'est pas grave si tu ne sais pas ce que ce mot veut dire. A vrai dire moi non plus, je cherche sa signification. C'est la dernière chose qu'a prononcé une personne à qui je dois énormément.

Faltsolph marmonna plus la fin de sa phrase qu'il ne la prononça, tellement il était plongé dans ses analyses. Quelque chose dans son sang bouillonnait, et ce n'était pas parce qu'il était attiré physiquement par la succube, mais parce que la curiosité le submergeait. Il continua, toujours en marmonnant une phrase sur deux.

- Tes ailes te permettent de voler ? Leurs tailles n'est pas suffisante à mon avis pour soulever un adulte, voler doit requières une utilisation de la magie ... Instinctive peut être ? Tu sais à quoi servent tes cornes ? Rien n'est purement cosmétique en général. Même ta stature plantureuse tu la doit à ta nature de succube ... A moins que les cornes et la queue ne soit que des restes d'une ancienne forme ? Hum ...

Tout en continuant d'examiner Sorano, Faltsolph se rapprocha de la succube, il jaugeait les proportions des différents atours démoniaques qui étaient apparu. Il essaya aussi d'analyser l'aura magique de la succube. De plus en plus proche, la distance les séparant n'était plus que d'un simple demi-mètre, Faltsolph commença à perdre sa concentration. Le pouvoir de la succube, même connu et restreint restait très efficace, surtout à courte portée. Il fit un léger pas en arrière et chercha à se ressaisir, il demanda par ailleurs à Sorano de plus amples renseignement pour détourner son attention. Lorsqu'il s'était rapproché elle avait peu être senti que Faltsolph n'était pas tout à fait humain.

- Je comprend mieux ta réticence à parler de ton secret, je ne pense pas que la plupart des humains ou elfes acceptent la présence d'une succube. Dis-moi, comment tu contrôle ton influence magique ? C'est inné et instinctif ou alors c'est plutôt comme une sorte de vanne que tu dois ouvrir et fermer consciemment ?

Le regardant observer la forme que j'avais pris, il commença à faire une sorte d'analyse complète, je n'aimais pas vraiment ça, mais sa avait l'air de lui dire plaisir, de satisfaire sa curiosité, puis, à chaque première question, il avait une réponse presque bonne, je lui répondit donc à chaque fois d'une voix plutôt calme.

- Et bien, je peu voler depuis que je suis né, donc je ne sais pas si c'est de la magie. Mes cornes ainsi que ma queue...et bien..elles n'ont rien de spécial je pense, tout le monde en a en bas.

Je le voyais alors s'approcher, un humain normal aurait déjà succomber à mon aura malgré une limitation assez forte de ma part, il était si proche que, il fini par reculer sentant sûrement que l'aura était un peu trop forte, une question venait alors en tête, cette homme est-il humain ? Ou alors, à t'il un pouvoir ? Ce serait étonnant, je n'avais jamais vu d'humains usant de la magie avant, puis, l'i'terrogatoire repris.

- Mon aura...je la contrôle comme je peu, mais la limité me fatigue beaucoup, d'où la petite pause que j'ai voulue faire il y a quelques minutes.

Il posait bien des questions, mais je voulais aussi en poser une, le pacte ne n'obliger pas à répondre mais j'aimerais vraiment savoir ce qu'il était, ou alors, qu'elle pouvoir utilisé t'il pour autant résister à mon aura.

- Dit moi, est-tu humain, ou alors utilise tu un pouvoir particulier ? Je n'est encore jamais vu un humain résister autant a mon pouvoir.

Mes yeux montrant ma grande curiosité, je voulais vraiment le savoir, mais allez t'il me répondre ?

Pendant que Faltsolph tentait de reprendre ses esprits, Sorano lui répondait. Elle avait semblé un peu gênée lorsqu'il l'avait examinait, mais maintenant, des questions semblaient lui venir à l'esprit et elle finit par demander des réponses.

- Dit moi, est-tu humain, ou alors utilise tu un pouvoir particulier ? Je n'est encore jamais vu un humain résister autant a mon pouvoir.

Intérieurement, Faltsolph se reprocha de s'être trop approché, elle devait se douter de quelque chose à cause de cela. Mais il réfléchit, elle lui avait dévoilé son identité, il pouvait bien se révéler un peu lui aussi.

- Hum... Question difficile. Je ne pourrais pas te répondre parfaitement moi-même, je ne connais pas la nature exacte de mes parents, j'ai grandi dans un orphelinat. Je sais pour autant que je ne suis pas autant humain que la plupart des hommes de Myth. Bien sûr, cela n'explique pas tout, j'ai beaucoup voyagé ces dix dernières années et j'ai fini par acquérir au fil du temps un bon contrôle de moi-même ainsi qu'une compréhension de la magie que je qualifierais de plutôt bonne. Ainsi le fait que je suis constamment vigilant viens de mon expérience, allié à ma maitrise de moi-même fait que je résiste plutôt bien à ton pouvoir. Mais je ne suis pas sans failles non plus et je suis bien conscient que si tu le souhaitais, je ne résisterais pas longtemps à ton pouvoir.

Faltsolph était sérieux lors de sa réponse, mais évita de tout dévoiler. Il avait aussi appris en voyageant que toujours gardé un minimum de mystère concernant sa propre personne permettait d'éviter beaucoup d'ennuis en règle générale. Lorsqu'il eut fini de parler, il leva les yeux vers le ciel afin de savoir quelle heure il était, et prévoir de louer une chambre d'auberge avant la tombée de la nuit, moment où la plupart des aubergistes augmentent leurs tarifs.

Ça réponse, elle allait dans un sens, mais il devait y avoir autre chose, il n'avait pas nier ne pas être complètement humain, mais, il dit ne pas savoir qu'elle est son origine, je réfléchis encore un bon moment, faisant balancer mes jambes un peu comme une gamine, regardant à mon tour en l'air, il se faisait tard, à cette heure, il ne doit pas rester beaucoup de place dans les auberge au centre-ville, une idée me venais alors en tête, je me souvenais d'une bonne auberge qui me faisais des bon prix, pas trop chez, prenant un papier en main, je commençais à écrire, avant de plier le papier et le tendre à Faltsolph.

- Tiens, va à l'auberge de la Rose, donne se papier et t'auras une chambre à coup sur, t'inquiète pas, je connais les gens là-bas, tu sera bien traité.

Il devait se posait la question du " pourquoi une démon, de plus une succube, semble si gentille ?", la réponse et simple, mais beaucoup ne comprennent pas, je n'aime ni tuer, ni faire de mal, juste jouer avec les gens, bizarre non ? Je me relever ensuite, revêtant ma forme humaine, adressant un sourire à Faltsolph, comme pour lui dire au revoir, avant de disparaitre dans l'ombre de la ruelle suivante, qu'à vais-je en tête ? J'aurais pu rester encore un peu, mais à cause de quelque chose, je n'est pas pu, de toute façon, je ne peu pas m'attacher à une autre personne, pourtant, j'ai fais le pacte, il ne dira rien, sinon, il aura la peine du sang.