Odeur animale {PV Saphider Draburaes} {Termier}

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Saphider Draburaes & Yoruishi Toshikane

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Les feuilles rougissaient devant Dame nature. Un simple coup de vent, elles se détachaient de leur hôte pour virevolté ici et là. Offrent une danse enflammé de couleurs chatoyants. Les oiseaux migraient vers des terres plus chaudes. Les prédateurs faisaient leurs réserves de graisse ainsi que les herbivore. Les écureuils et autres rongeurs préparaient leurs tanières. Oui, l'automne c'était bien encré dans la forêt. Préparent la venue de la neige et du froid. La saison qui arrivé a grand pas, était une saison de disette pour certain.

Yoruichi n'aimait pas l'hiver. Certes les neige, les flocons, ... C'est bien beau, mais cette période était la plus dur de tout les sassions. Car la belle ne vivait pas dans un maison bien chaude. Elle n'avait pas ce luxe ou plutôt n'avait plus ce luxe. Enfin bon, cela faisait bien huit ans qu'elle y avait renoncer. Il y a peut une tanière bien chaude lui aurait suffi amplement, mais depuis qu'elle avait repris goût à sa forme humaine sont rythme de vie n'était plus le même. Elle irait surement dans les régions chaudes pour l'hiver. Bref, les question n'était pas là. Nous étions en mis automne, pas de quoi tuer un chien avec se froid.

Voila bien plusieurs jours que la renarde trainait ici et par là dans cette forêt. Un bref retours aux sources. Les souvenirs de ses huit ans bestiales reviens en mémoire à Yoruichi. Il y avait encore peu, elle parcourait les plaines, les champs, les forêt avoisinante à quatre pattes. Reniant totalement le peu d'humanité qui lui restait. Cette époque, elle sans souvenait. Ho que oui ! Elle n'avait que treize ans quand elle fit le choix de vivre son adolescence entant que renard et non comme une petite fille. Les odeurs du bois lui venait au museau, tant de souvenir... Tant de partie de chasse, tant de liberté, tant de solitude...

Elle était assise au pieds d'un chêne. Le soleil arrivait percé entre les feuilles. Quel délicieux moment de paix. Clame et en paix avec elle même, cela était rare. Puis un bruit dans les buissons viens troublé sa tranquillité. Ses yeux dorés observaient soigneusement les alentours. Les oreilles animales étaient droite et à l'affut du moindre bruit de mouvement. Encore quelqu'un? N'allait-elle jamais avoir la paix? Son odorat ne pouvait rien sentir le vent venait de son flan. Ni elle, ni cette chose, ne pouvait ce sentir. Soudain d'un bond un petit animal sorti. Un lapin, paye ton étranger. Les pupilles de Yoruichi se firent fente, ses oreilles se plaquèrent sur son crâne, l'instinct animal plus fort que l'humain.

Elle ne bougea pas, pas même un poils. Elle le regardait avec attention. Lui par contre, ne l'avait pas vu. Yoruichi attendait une ouverture de la part de ce petit être pelucheux. Cinq bonne minute passèrent avant que le lapin ne lui donne une ouverture. En un battement de paupières elle passa de son délicieux corps de jeune femme à celui d'un renarde svelte. Mais avant même quelle eu le temps de fendre sur le petit animal. Celui-ci prit d'un coup la poudre d’escampette, comme si il avait eu peur de quelque chose. Non, pas d'elle mais d'autre chose. Son diner venait de se faire la malle. Bordel ! En son fort intérieur elle pestait contre elle même d'avoir raté une telle occasion. Un tel relâchement n'était pas la bienvenue, cela viens peut être du fait qu'elle est reprit ses habitudes d'humaine. Puis un nouveaux bruit, cette fois des branches. Un bon pigeon bien gras? Encore une fois le vent était contre elle, se qui rendait les odeurs difficiles a distingué. Lui mettant quelques peu les nerfs.

Une pluie de plume puis une odeur de sang. Oui c'était bien un bon gros pigeon. Enfin elle allait pouvoir manger. Elle commença à le déplumé, le goût du sang lui remplissait la gueule. Quand... Une ombre bien plus grande qu'elle se dressa devant sa face... Une ombre familière, une démarche qui lui était commune. Son sang ne fit qu'un tour. Les poils de son échine se bombèrent et ses neuf queues se dressèrent. Un grognement roque sortit de sa gueule qui tenait la proie.

C'était un chien, surement errant vu la localisation. Se qui serai fâcheux c'est que cette animal soit un chien de chasse. Je ne serait pas vous dire à quel point elle pouvait haire ses bêtes. Peut être en vous disant qu'elle aurais voir un ours à la place. Les deux canidés se toussèrent du regards. L’intrus voulait lui voler sa proie. Bien que cet animal en face d'elle faisait bien six à huit kg de plus qu'elle. Elle ne se laisserait pas faire. Le chien se montra plus entreprenant et tenta de saisir son repas. La renarde esquiva d'un pas de coté, mais elle ne s’attendait pas à se que le bâtard lui attrapa les queues pour pouvoir la maitrisé. Après plusieurs minutes, le résultat fut en appel...

Le chien avait mis à mal Yoruichi et était repartis avec ça proie, son pigeon. Et là se qu'on se dit tous. Mais pourquoi na elle pas reprit forme humaine pour dégageait se chien? Tout simplement qu'elle ne pouvait pas. La transformation demande beaucoup de concentration et de sang froid. Chose qui n'est pas possible dans ces moments là. Chien de %@#* ! Yoruichi était allongeait au sol, blésait mais pas inconsistante. Elle devait retournée près de ses affaires. Elle pourrait se panser les plaies. Avant tout cela elle devait trouver la force de se lever et de retrouvait sa forme original. Elle était furieuse et cracha plusieurs mots d'oiseaux...

"Si je te met la main dessus bâtard de chien, je te pend avec tes tripes !"

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Me voilà hors de ma cabane à la recherche de nourriture, le temps était presque parfait pour moi, le temps se rafraîchissait, l'humidité s'installait de plus en plus, en bref, l'automne qui annonce qu'on est bientôt en Hiver. Il est certain que pour un dragon de glace comme moi, l'hiver c'est mon petit moment de paradis, une température parfaite, un paysage blanc et bleu, de la glace partout, en soit c'est le moment que j'attendais le plus dans le monde Humain.

Je me baladais donc dans les bois, un panier sous le bras, pour cueillir les champignons par ici et par là. L'humidité, installée, c'était parfait pour la pousse des champignons, et comme dans ma cabane je commençais à être à court de nourriture, je partis me la chercher moi même. J'avais en tête de ramasser une bonne lampé de champignon et peu être même une petite créature pour en faire un ragoût, car contrairement à ce que l'on pourrait penser, je ne suis pas fan de la nourriture surgelée, certes c'est de la glace, mais le goût n'est point au rendez vous.

Et alors donc que je m'enfonçais dans les bois, un chien, sortant de nul part, percuta ma jambe. Aussitôt il ce mit en position face à moi grognant avec ce qui semblait être un pigeon entre les dents. Il était recouvert de petites blessures encore fraîche et à moins que ce pigeon soit mutant je doute que ce soit lui qui lui est fait cela. Il était donc face à moi grognant et position d'attaque. Sûrement par peur, mais je lui fis comprendre d'un simple regard que je ne suis pas la personne à attaquer par peur. Il baissa aussitôt les yeux et continua sa route à travers les buissons.

La situation rencontré plus tôt piqua ma curiosité, surtout quand j'entendis quelqu'un crier de colère non loin de là dans la direction d'où venait le chien. Je me mis alors en route vers ces cris, puis au bout de quelque seconde je fis fasse à une renarde, à ses multiples queues cela semblait être une femme-renarde. Elle était dans un sale état la pauvre, je posa alors mon panier au sol et vint la rejoindre doucement..

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Elle avait suffisamment de force pour crier ou même insulter le chien qui avait pris la fuite, mais pas suffisamment pour pouvoir trop bougeait. Ce n'était pas bien grave, cela n'était pas la première fois où elle se faisait défoncer. Probablement pas la dernière, non plus. Son corps gisait au sol, dans la poussière, dans les plumes et les touffes de poils. Les siennes et celles de cet infâme carne. Il suffirait qu'une autre bête de la même espèce passe et sens serai fini d'elle. Elle essaya de se levait avec un peut de mal, mais son corps animal retomba lourdement. Yoruichi devait encore attendre avant de pourvoir se déplacer. Cela ne devrait pas prendre plus d'une heure. Dans son sac il y avait de quoi diminuer les douleurs et autres courbatures. Ainsi de quoi soigner les plaies.

La renarde n'avait rien de mourante, ses plaies n’engageait en rien son pronostique vitale. Bien que sa mobilité soit avant tout très réduite. Elle arrêta de se débarre avec elle même et sa douleur. Restant inerte au sol. Une odeur de bipède lui viens alors au museau. Ses oreilles se dressèrent sur son crâne. Yuu' observa les alentours,quand une ombre se dessina.

Un homme, un très grand homme même. Elle ne pouvait pas bien le déchire de loin. Il cherchait quelque chose. C'est alors qu'il tourna la tête vers elle. Il la vu, le grand homme posa alors le panier qu'il tenait dans les mains au sol. L’inconnu s’approcha doucement et prudemment. Bien étonnant soit-il, Yoruichi ne se mit pas à bêlait comme d'habitude. Criant qu'elle n'était pas un vulgaire animal. Le regards qu'avait cet homme sur elle n'était pas celui de quelqu'un qui voyait un simple renard au sol. Il avait peut être comprit se qu'elle était au premier coup d’œil. Enfin, seul les simplets ou des ignares ne se rendaient pas compte qu'une renarde à multiples queues n'était forcement pas naturel.

Plus l'homme avançait vers elle, mieux elle pouvait le voir. Une magnifique crinière bleu le coiffait. Des yeux bleus cristallins et une marque blanche en plein milieux de la face. Cela intrigua fortement Yoruichi. Puis elle remarque brièvement qu'il était plutôt bien habiller pour quelqu'un qui se trouver dans les bois. Elle ne pouvait trop rien dire sur cela, elle aussi avait toujours de beaux vêtements. Elle redressa sa tête aussi gracieusement que possible, mais on ne peut pas vraiment dire qu'elle est réussit... Une forte douleur lui passa dans les nerfs. Elle se rappela le moments où le canidé l'avait attraper par la nuque et l'avait violemment secouer. Comme une poupée de chiffon avec dents et griffes comprit. Elle se reconcentra sur l'homme, puis lâcha un sourire. Elle devait être pathétique a voir, faible et fragile...

"Bonjours..."

Lâcha-t-elle simplement. Elle ne passait pas provoquer de surprise chez lui. Ce n'était pas non plus le bon moment pour jouer avec qui que se soit. Un petit tique de douleur marqua son visage animal. Puis elle se reprit, surmontant la douleur de son corps. Elle reprit un sourire:

"... On ne peut pas vraiment dire que je soit présentable."

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Au pied de la demoiselle, je vis mieux dans quel état elle ce trouvait. Elle n'était pas au porte de la mort, mais elle était vachement amochée, et petit soucis, je n'ai pas de quoi la soigner sur moi. Toute mes pommades et crèmes sont dans ma cabanes, elles ne me servent bien évidemment pas à moi, mais plutôt à un voyageur malchanceux qui aurait fait une mauvaise rencontre comme ici. Puis elle finit par me regarder et tout en souriant elle me souhaita le bonjour. Elle semblait avoir mal tant on voyait qu'elle souffrait rien quand me souriant. Mais elle continua tout de même de me parler.

"... On ne peut pas vraiment dire que je soit présentable."

- Vous devez surtout vous reposer pour le moment, évitez de parler, d'accord?

Quelque secondes auparavant j'avais pus voir qu'elle essayer de ce diriger vers quelque chose, alors en soulevant les yeux, je vis une sorte de sac contre un arbre, cela devait lui appartenir. Alors je me dirigeai vers celui ci, et l'ouvris. Pour une surprise ce fut une surprise, dans ce sac, c'était une mine d'or pour apothicaire, toute sorte de crème cicatrisante, des analgésiques, des plantes anti-douleurs. Il y en avait de toute sorte. Je ne suis pas médecin moi même, mais en 7500 ans seul dans une forêt dans les bois, on a le temps d'apprendre toute sorte de chose je vous assure.

Sans trop attendre je pris le sac avec moi et l'emmena aux pieds de la jeune femme, puis je sortis quelques anti-douleur et des crèmes cicatrisantes. Je lui posais la plante devant le museau pour qu'elle le mâchouille, puis je pris de la crème dans les mains.

- Attention, cela risque de piquer.

Puis après avoir fini mes mots, je commençais à lui prodiguer des soins basiques..

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- Vous devez surtout vous reposer pour le moment, évitez de parler, d'accord?

Lui demanda-t-il simplement. Il se trouvait désormais près d'elle. Non, il ne semblait vraiment pas être perturbait pas son apparence. Tant mieux, c'était lassant de croiser des gens qui ne savaient pas se qu'était un polymorphe. Et puis je me pense pas que dans sa situation elle aurais eu l’énergie pour. En tout cas elle n'en aurait pas eu la patience, ni l'envie.

Contre toute attente elle se tue, pas un mot sortit de sa gueule. Elle n'était pas du genre à aimé qu'on lui donne des ordres, mais elle n'était pas débile non plus. Yoruichi savait elle même qu'il ne fallait pas bouger, cela pouvait aggravée son état. Elle lança un regard soutenue à l'humain en guise de sa bonne volonté. Puis celui-ci se détacha d'elle, regardant autour d'eux. Que pouvait-il cherché? Des plantes? Il se leva soudainement et contre toute attente l'homme se dirigea vers ses affaires. Yoruichi retenue son grognement désapprobateur au fin fond de sa gorge. Elle ne laissait jamais personne touché à ses affaires et encore moins à son sac, mais cette fois si sa cause donna raison au bipède.

Sans plus attendre l'humain prit son sac et revient aussi vite qu'il pu près d'elle. Il n'attendu même pas qu'elle lui dise quoi prendre. Que tout était déjà sorti, quel hasard d'être tombait sur quelqu'un qui si connaissait aussi. Cela la rassurait de ne pas à avoir faire à un péon. Il lui pausa une plante anti-douleur devant le nez, qu'elle s’empressa de dévorait. Elle malmena la plante dans sa gueule pour l’écraser. Ainsi les principes actifs pouvaient être libéré.

- Attention, cela risque de piquer.

"J'ché ben... que cha pique..."

Dit elle la gueule pleine. Il commença tout de suite à lui désinfectait les plaies se qui lui arracha un petit jappement de surprise et de douleur. Elle le laissa faire son boulot. Ce laissant se faire tripotait. L’extrait de la plante commençait à faire son effet.

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Elle me répondit la bouche pleine, qu'elle savait très bien ce qui l'attendait avant que je commence à lui mettre le baume sur la peau. La suite vous la connaissez, je la massais avec le baume pour désinfecter et aider la cicatrisation de ses plaies. Heureusement le chien n'avait pas enfoncé les dents profondément dans sa peau, juste de quoi lui faire lâcher sa proie j'imagine, vue qu'il avait un pigeon dans la gueule au moment où il m'heurta. Je pris bien mon temps pour que ça ne lui laisse absolument aucune cicatrices.

Après ce petit moment à lui passer le baume pendant qu'elle machouillait sa plante, je sortis quelques bandages de son sac, et heureusement qu'elle en avait, j'avais pas vraiment envie de prendre ceux sur mes bras. Je commençais à dérouler doucement l'un des bandages quand je me souvins que c'était une polymorphe et qu'il serait préférable qu'elle ce transforme en humaine avant de continuer, car les bandages ne grandiront pas avec son corps de renarde.

- Il faudrait que vous preniez forme humaine pour que je puisse vous passer les bandages mademoiselle. Dis-je avec mon habituelle ton froid.

J'étais donc la à genoux sur le sol, en attendant qu'elle ce transforme, enfin, en espérant qu'elle ce transforme, sinon je lui mettrais les bandages sous sa forme de renarde.

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{Code couleur pour les paroles de Yoruichi: #ff0066}

Il lui prodiguait des soins. La massait doucement pour ne pas lui faire mal. Il était doux et aimable de part ses actes et ses gestes. Cette personne qu'elle ne connaissait même pas lui venait en aide. Cela devait être une personne gentille. Il est vraie qu'elle aurait fait de même avec un inconnu, mais juste pour éviter de perdre une vie et peut être par chance que la personne lui soit redevable. Yoruichi se demanda si il allait lui demandait une contre partie. Quand même pas, c'était ses produits après tout, mais aussi son temps qu'elle prenait. Et puis merde, elle n'avait pas un rond sur elle. Alors si il voulait quelque chose en échange il irait se faire voir. Elle ne lui à rien demander à se que je sache.

Yuu' commençait à se prendre la tête avec elle même. Se qui l'énerva rapidement et finit par pensé à autre chose. Comme la plante qu'elle marchait. Il ni avait plus rien à en tirer. Tant mieux, on ne pouvait pas dire qu'elle avait bon goût. Les massage étaient agréable, cela la détendait. Puis le grand homme s’arrêta pour fouiller à nouveaux dans son sac. Il en sortit des bandages. Il semblait réfléchir à quelque chose en regardant les bandages puis la renarde. La taille peut être...

- Il faudrait que vous preniez forme humaine pour que je puisse vous passer les bandages mademoiselle.

Effectivement, c'était bien cela qui lui pausait problème. Yoruichi réfléchit une petite seconde. Testant son corps pour voir le niveau de douleur. Elle pouvait bougeait plus facilement.

"Cela ne devrais plus pauser de problème avec vos soin, merci."

Son corps se redressa pour s’assoir. Un mouvement quelque peu mécanique. La douleur n'était plus qu'une plume déplaçait par le vent. Yuu' déposa doucement au sol le reste de plante manchonner. Elle s'assit puis regarda l'homme un peu gênait.

"Par contre j’espère que cela ne vous gênera pas. Que... Je sois nue..."

En un battement de cille la bête passa femme aux longs cheveux ébène et à la peau claire. C'était l'une des rares fois où elle pouvait se montrait pudique. Yuu' n'était tout simplement pas présentable, pas féminine et surtout dépendante de cet homme. Cela ne lui plaisait gère mais pas de chichi de gamine. Elle essayait de rester aussi fière que possible.

"Vous voulez que je me mette autrement?"

Elle marqua une petit pause et reprit:

"Pour les bandages j'aimerais qu'ils trempaient dans une décoction d'Echinacée. Si se n'est pas trop vous demandé."

Dit elle timidement en prenant un flacon dans le sac. Cette fleur était à infuser, ou même en faire une décocation ou un jus en la pressant pour favoriser le système immunitaire. On peut aussi l'appliquer la mixture sur des bandage chaque jours durant environ deux semaines, cette plante permet de cicatriser les plaies et de faire disparaitre les traces des petites blessures. Cette plantes arranger tellement bien la jeune femme, elle marchait très bien sur elle. C'est pour cela qu'elle aimait tant cette fleur mauve.

"Hum... Au faite. Je ne connais pas votre nom. Je me nomme Yoruichi et vous?"

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On en venait au moment que je m'attendais..

"Par contre j’espère que cela ne vous gênera pas. Que... Je sois nue..."

Il est vrai que j'ai vue très rarement des femmes nues, le peu que j'ai vue c'est pour assouvir une envie, donc je savais que j'allais être légèrement perturbé. La preuve en est que la dernière fois que j'ai vue une femme nue j'ai quelque peu perdu tout mes moyens, bon après il faut dire qu'elle l'avait un peu cherché. Mais c'était un bon exercice pour moi, savoir garder le contrôle de moi même fasse à une belle femme nue. Je lui répondis donc..

- Ne vous en faites pas, je ne suis pas là pour vous épier mais surtout pour vous soigner.

Après ma réponse elle passa directement en forme humaine, et heureusement que ma concentration était au maximum, car malgré ses blessures, elle restait une très belle femme. Puis commençant à dérouler mes bandages elle m’arrêta pour me dire:

"Vous voulez que je me mette autrement?"

- Non au contraire évitez de trop bouger cela pourrait élargir vos plaies.

"Pour les bandages j'aimerais qu'ils trempent dans une décoction d'Echinacée. Si ce n'est pas trop vous demander."

Puis elle me passa le flocon où ce trouvait la plante. Il est vrai que ce n'était pas bête, cette plante permet une amélioration du système immunitaire, donc moins de risque d'infection, et un meilleur rétablissement.
Je pris alors deux trois feuille que je plaçais dans mes mains bandées elle aussi, puis en serrant le poing je passais de l'eau dans les feuilles pour en retirer le maximum de jus qui tombait dans un petit bol. Après cela terminé, je passais les bandages dedans, et commençais à les lui mettre. Pendant donc que je lui passais les bandages elle me parla.

"Hum... Au faite. Je ne connais pas votre nom. Je me nomme Yoruichi et vous?"

- Saphider, Draburaes Saphider. Enchanté.

Puis après quelques minutes, j'eu finis de lui mettre les bandages. Je me relevais donc gardant toujours mon air naturel, c'est à dire froid.

- Voilà, je pense que ça devrait aller mieux ainsi.

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Il la rassura, sur le faite qu'il n'était pas là pour la juger mais pour lui portait des soins. Se qui la rassura assez vite, elle se détendit enfin. Le grand homme ajouta même qu'il était préférable pour elle de ne pas bougeait pour le moment. Yoruichi l'écouta et le laissa faire tout en regardant avec une grande attention le moindre de ses gestes.

- Saphider, Draburaes Saphider. Enchanté.

Il venait de se présentait à elle. Yuu' pouvait enfin mettre un nom sur ce visage et ce cratère glacial. Puis le silence revient tout naturellement pendant que Saphier finissait son travail. La regarde remarqua enfin qu'il portait des bandages. Cela ne devais pas être très pratique pour appliquait des crèmes et autres. Elle ne cacha pas son observation sur les main de se dernier, mais elle ne dit rien sur le sujet. Cela ne la regardait pas.

- Voilà, je pense que ça devrait aller mieux ainsi.

Dit il d'un ton frigorifique tout en se relevant. Un petit frison lui parcourt l'échine. Elle bougea ses membres, la douleur avait disparue, tant mieux. Bien que ses muscles avaient encore du mal à se détendre a leurs maximums. Yoruichi se leva à son tour et se dirigea vers ses vêtements. Ils étaient toujours au même endroit, sous l'arbre posaient en vrac. La jeune femme enfila soigneusement ses sous vêtements puis sa robe bicolore. Une fois fini de se rhabillait, elle retourna vers Saphier.

"Je vous en suis reconnaissante... Merci. Maintenant j'ai un dette envers vous. En quoi puis je vous être utile?"

Yoruichi n'aimait pas devoir quoi que se soit à qui conque. Les dettes, très peu pour elle.

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"Je vous en suis reconnaissante... Merci. Maintenant j'ai un dette envers vous. En quoi puis je vous être utile?"

Je la regardais doucement, mon visage ne laissais pas paraître de sentiments, mais si l'on ce plonge dans mes yeux ont pouvait très bien voir tout la gentillesse que j'essayais de passer. J'avançais alors ma main lentement vers elle, la posant sur sa tête entre ses deux oreilles de renard. Puis en la regardant dans les yeux.

- Vivez chaque jour pleinement, voilà comment vous pourrez me rembourser.

Puis tel un père protecteur je quittai le dessus de sa tête. Puis ramassa mon panier en lui laissant la moitié de mes champignons à ses pieds.

- Je dois maintenant vous quitter mademoiselle, prenez soin de vous.

Puis je me retournais doucement repartant dans la forêt, laissant ma silhouette disparaître peu à peu dans l'horizon. Il était temps pour moi de rentrer dans ma bonne vieille cabane, mais avant j'allais me chercher un peu de viande, car les champignons sont meilleurs accompagner d'un bon lapin.