Rosario de Aratiel

Raison de la mort : Inactivité





Nom:De Aratiel

Prénom:Rosario, surnommée « Alice. »

Age:149 ans.

Race (Et sous-race):Polymorphe, vampire.

Sexe: Féminin.

Orientation (sexuelle): Bisexuelle.

Caractère (au moins 3 lignes):

 Je suis du genre peu sociable, renfermée sur moi-même, sauf avec mon chapelier ! Je suis de nature calme et sûre de moi. Avant j’étais douce, gentille et extravertie, avant de perdre mon chat Cheshire. Je déteste tout ce qui symbolise la lumière car pour moi, c’est l’hypocrisie même. Je ne crois plus en rien, il me reste seulement un peu d’espoir pour retrouver Cheshire. Je suis de mauvaise humeur au réveil, et très excitée les jours de pleine lune. Je fais souvent des crises d’anémie car je ne supporte pas boire de sang, car si j’en bois, je peux rapidement devenir accro, et me faire manipuler, alors je ne fais plus cette erreur.  Je suis très franche et si quelque chose ne me plaît pas, je ne peux pas m’empêcher de le dire.  Je ne suis par contre pas douée pour avouer mes sentiments et j’ai toujours un visage neutre sans expression, personne ne sait si je suis heureuse, ou triste.  


Physique (au moins 3 lignes):

 J’ai de longs cheveux, malheureusement de la pire couleur qui soit, ils sont blancs. Ils m’arrivent jusqu’à la taille et sont totalement lisses. J’ai de belles canines  qui se voient très bien quand je souris. Je porte souvent une robe bleue et blanche bouffante et courte, comme les jeunes princesses dans les contes de fées.. Je suis de taille moyenne et j’ai une silhouette élancée. Mes yeux sont bleus foncés mais deviennent rouge sang quand je fais une crise d’anémie. Mon chapelier me disait toujours que j’étais la plus belle. Mon visage est doux, mon nez fin, mes lèvres pulpeuses. J’ai le teint très pâle comme je suis une créature de la nuit.




Histoire:

 Je m’appelle Rosario, Rosario De Aratiel, mais vous pouvez m’appeler Alice, c’est tellement plus simple et ça me va tellement mieux car on me surnommait comme cela allez savoir pourquoi… Je suis une fille presque normale... Malheureusement, entre fille et normale, il y a le presque. Par où commencer... Ah oui... Il était une fois, enfin devrais-je dire, "il était une fin" plutôt. Enfin bref, passons les détails futiles. Je ne sais pas de qui je suis la fille, mais j'ai été abandonnée. La raison? J'ai les cheveux d'une couleur spéciale, je ne suis pas normale. Mes cheveux sont blancs. Je vivais dans un caniveau, un caniveau ou aboutissaient toutes les saletés de ce monde, seule et orpheline. Telle que j'étais, je n'aurais jamais pu trouver un travail dans ce pays. Je n'arrivais même pas à commettre habilement de petits larcins. Je ne vais pas vous raconter par quels moyens illégaux j'ai réussi à m'en sortir et je n'arrive plus à me rappeler comment je faisais pour survivre mais... Malgré tout je vivais dans ce caniveau en retenant mon souffle. Et puis un jour...

 Un homme. Un homme, grand, beau, intelligent, élégant et riche surtout, tendit la main vers moi. Non je n'en dirais pas plus sur cet homme, qui sait, il n’est peut-être pas loin. Ce jour-là, ma vie monotone dans ce caniveau a basculé. Mais pas dans le sens dans lequel je le désirais. Je n'aurais jamais dû prendre cette main. Il me donna un toit, une maison, m'apprit à lire, à écrire et à vivre surtout. Il m'a enseigné le maniement du sabre, ainsi que quelques autres techniques que je ne vous dévoilerai pas. En échange, je l'aidais en faisant certaines tâches et lui tenais compagnie. Mais il s'approchait près de moi. Bien trop près... J'étais assez naïve à l'époque et ne le remarquais pas mais... Cet homme était un vampire.

 Une nuit, il vint dans ma chambre et me mordit, avalant goulûment presque toute la totalité de mon sang. J'étais terrorisée et ne sut que faire sur le coup, et puis, j'étais faible. Comprenez que perdre autant de sang si instantanément avait réduit mes forces par 4 au moins. Je me suis alors évanouie. Je me suis réveillée le lendemain matin, à l'aube. J'avais froid, j'avais faim et je me sentais sale, il m'avait rejetée dans le caniveau ou aboutissaient toutes les ordures de ce monde. Mais cette fois était différente d' "avant". J'étais plus grande et plus intelligente. Je me suis alors enfuie.  

 Je ne sais plus combien de secondes, de minutes ou même d'heures entières j'ai couru, mais j'ai couru encore et encore, sans m'arrêter et je me suis enfermée, une sorte de cabane isolée... Ma robe était déchirée. Je me suis regardé dans un petit miroir de poche que je gardais dans ma poche et poussai un cri de surprise. Ce salaud m'avait laissé un cadeau. J'ai maintenant un pentacle à l’œil gauche qui est lui devenu rouge. Je suis partie en courant horrifiée et me suis retrouvée dans la ville actuelle ou nous sommes. J’ai essayé de trouver du travail, mais il était impossible pour une fille "presque" normale comme moi, de trouver du boulot. J'ai donc commencé à vendre mon corps, oui il fallait bien cela. En gagnant un peu d'argent, j'espérais pouvoir me payer de quoi vivre et ainsi trouver quelque chose pour cacher cette horrible marque sur mon œil gauche et mes cheveux blancs.Rien ne marchait, je me suis donc résignée à aller voir un sorcier, qui pris peur en voyant le pentacle sur ma joue et qui prit ses jambes à son cou en criant:  


 Et puis un homme, un autre homme, encore un. Il m'emmena dans un cirque. Cet homme m’avait engagée pour ma voix qu’il jugeait « Tellement extraordinaire qu’elle égale celle des déesses. », et me promit quelque chose que je n’avais jamais eu: un ami. Il me tendit alors un petit chat, bien différent des autres félins de sa race car... ce chat souriait. Je le pris dans mes bras et l’aimais déjà, Cheshire…

C'était un cirque totalement isolé dans le fin fond d'une forêt. Nous devions divertir une seule personne, que l'on ne voyait jamais… Je chantais pour lui sans m’arrêter… Mais peu m’importait tant que mon chat était à mes côtés… Ce chat souriant que l’on appelait Cheshire.  

 Mais un jour, mon chant s’arrêta. Cheshire, mon adorable chat avait disparu. Alors le jour se transforma en nuit, le contour des choses devenait noir et flouté.  Le propriétaire du cirque  se leva et s’approcha de moi. J’avais la possibilité de fuir, mais je ne le fis pas, je l’attendais, je l’attends encore, il fallait que je reste. Alors je demeurais immobile à genoux sur le sol, attendant la sentence. Je ne vous raconterai pas en détails par quels moyens j’ai survécu à ses coups ses brimades et autre. Je ne vous conterais pas non plus tout ce que l’on m’a fait subir, mais le poids de l’air est devenu une torture, ils étaient tous tellement indifférent envers moi que je m’oubliais moi-même. Le futur n’était maintenant que rêves et illusions pour moi



 J’en ai même fini par conclure qu’il m’avait abandonnée. Que je n’étais rien pour lui. Il est parti sans aucune explication. L’ombre à éteint les bougies de l’espoir, l’espoir de le revoir. J’ai fait une longue chute, dans la folie du désespoir…  Les gens se moquent, se moquent de moi, de mes amis que j’ai trouvé. Je ne restais plus qu’avec eux maintenant. Le chapelier fou, était mon meilleur ami et mon conseiller à la fois, il restait toujours avec moi jusqu’à ce que je m’endorme. Mon acolyte, ce fameux chapelier, les autres ne le voyaient pas, ils ne me croyaient pas, car je lui parlais, et eux n’entendaient pas sa réponse. Ils disaient que j’étais folle et que j’étais devenue ce qu’on appelle une schizophrène… Je le suis peut-être un peu, je ne sais pas, je ne sais plus…  

 Cheshire me manquait terriblement alors pour noyer mon chagrin, je me suis rapprochée du chapelier fou, tellement rapproché qu’il en est devenu mon amant, à chaque instant que j’étais avec lui, j’en oubliais presque Cheshire, mais pas complètement car depuis, je n’ai jamais chanté…  

 Une nuit, le poids accablant de la vérité écrasa mon cœur précaire et délicat. Alors que je discutais avec mon chapelier, un coup de vent envola son chapeau. Soudainement, alors qu’il se levait pour le rattraper et que je voulais moi-même l’aider, il se coinça dans un arbre. Je montais à l’arbre et tentai de le récupérer, en vain. Mes mains passaient à travers le chapeau. Je les agitai dans tous les sens ne comprenant pas pourquoi je ne pouvais toucher ce chapeau de vive-main, c’est alors que mon chapelier disparut complètement, me laissant seule avec mon désespoir comme seul ami. Mon chat, et mon chapelier, disparu.  Depuis, je ne fais confiance à personne et reste froide envers tout le monde, j’ai développé ce que les gens appellent de la bipolarité…  

 Triste et seule, je cherche mon seul ami, en oubliant même tous les plaisirs d’autre fois, je m’accroche à ce moindre fil d’araignée, qu’une seule larme pourrait briser.  




Marques ou objets particuliers (tatouage, armes, bijoux...):

Comme vous avez pu le constater, j’ai un pentacle à l’œil gauche, je possède deux katanas que je manipule à merveille. Mon corps est gelé, car il y a bien longtemps que je n’ai pas connu quelque chose qui me réchaufferait de bonheur, car le bonheur s’est envolé… Une rose rouge est tatouée sur ma cuisse droite.