Nom : Orphelin, surnom : Langue de Fer
Prénom : Ighvan
Age : 210 ans
Race: Nephilim
Sexe: Masculin
Orientation (sexuelle): hétérosexuel
Caractère (au moins 3 lignes):
Il est d'un naturel détendu et moqueur, il devient sans pitié lorsque l'on menace sa guilde et intraitable en affaires, ses passions pour les animaux, le marchandage, l'aventure et l'exploration fait de lui un homme stable et varié dans ses propos. En tant que maître de guilde son calme est à toute épreuve, même si sa patience atteint parfois ses limites avec les plus rebelles de ses subalternes. L'honneur et le respect ont une grande place dans son coeur et sa guilde représente son but ultime qu'il défendra jusqu'à la mort.
Physique (au moins 3 lignes)(Pour les personnages se transformant, veuillez décrire vos différentes formes):
D'un physique grand et assez musculeux, les cheveux noirs comme la nuit, le teint pâle et la barbe longue noire de jais. Ses yeux sont d'un bleu quasiment gris. Il lui arrive de porter des boucles d'oreilles de mithril lors de grande occasions, il porte une armure noire d'ébonite (un mélange d'obsidienne et de mithril) qu'il a obtenue lors du sauvetage d'un dignitaire nain des griffes des tribus de la jungle hostile. il porte toujours l'épée bâtarde d'ébonite qui lui sert de symbole de son rang, n'aimant pas les signes ostentatoires inutiles.
Histoire (entre 10 et 75 lignes):
Je suis venu au monde avec des chaînes aux poignées, sans parents, ni foyer. Je ne connaissais que ma cellule sous l'arène de Rercis. L'arène avait été construite pour distraire le peuple, la dynastie régnante n'étant ni éclairée ni religieuse et principalement composé de marchands nobles corrompus et méprisant. à leur avis la vie d'un homme vaut moins que ce que remplirent leurs assiettes, il n'était que logique que cela finisse ainsi, les prisons étaient pleines et ce qui était à la base un moyen de rendre une justice expéditive était devenue un divertissement tout public. Les gens passant leurs frustrations et les rancœurs du quotidien sur les animaux ou les gladiateurs s'entre-tuant pour leur plaisir. Enfant, j'avais la chance de servir d'assistant belluaire jusqu'à mes douze ans, j'aimais bien mon travail d'assistant, s'occuper des animaux devint rapidement ma passion, à la fin je les connaissais tous et même les animaux les plus dangereux tolérer ma présence dans leurs cages.
A l'exception du pauvre drake dans les souterrains qui tuait les hommes au flair, la pauvre créature était blême, aveugle et famélique. Son isolement l'avait rendu fou de rage, son aveuglement l'a plongeant dans une terreur sans fin. Mais à mes douze ans, les choses changèrent, un nouveau type de combat était devenu populaire et son maître ne pouvait pas passer sur l'opportunité, les combats à mort entres orphelins, mon ancien maître avait pu me voir maîtriser des bargheists sans vraiment de problèmes, alors il m'inscrit à mon premier combat. Dans une arène privée, je fis face à mon adversaire, un enfant sale et blessé, l'hôte de la fête lança deux pierres au centre de l'arène, l'enfant se jeta sur la plus proche de lui avant de me charger en hurlant.
J'étais si choqué par la brutalité de l'attaque que je fus incapable de réagir, il me frappa à la tête et je finis par m'écrouler au sol, le sang obscurcissant ma vision puis je me suis rappelé les cadavres mutilés des gladiateurs qu'ont emmené dans les profondeurs de l'arène... Une phrase se répéta en boucle dans mes pensées : je ne veux pas mourir.... Posséder par la terreur, j'enlaçais mes mains autour de la gorge de mon adversaire, serrant de toute mes forces en le regardant droit dans les yeux avec cette seule pensée en tête, lui ou moi. J'entendis un craquement sourd puis il arrêta de bouger, raide mort, maintenant je réalise que j'avais brisé sa nuque...
À ce moment quelque chose s'était brisé en moi, libérant un fiel dans mon être, la haine avait fini par prendre place pour ne plus jamais me quitter. Arrivant dans ma cage, je restais silencieux durant out le trajet, ne parvenant pas à entendre un mot de ce que mon maître me disait. La seule chose qui m'a brisé de ma torpeur était un aboiement à mes côtés, un bargheist du même âge que moi s'était échappée de sa cage avant de se diriger vers ma cellule. Mon premier ami... Ma vie continua ainsi pendant une vingtaine d'années, mon maître devenant de plus en plus riche, dans sa gentillesse, il me reversa une partie de mes victoires que je mettais précieusement de côté.
Je devins champion au moment où j'ai affronté le drake aveugle, j'étais sans armes à distance, n'arrivant pas à l'approcher dans sa frénésie meurtrière, je me visualisais en train de me préparer à lui lancer une pique pour en finir. Un instant plus tard, j'entendis la foule m'acclamer sans raison, me retournant, sentant mon énergie se faire drainer, je me rendis compte qu'une lance de foudre venait de prendre place dans ma main.
N'attendant pas un instant et voyant que le drake se préparer à cracher ses flammes, je courus pour le prendre de vitesse et sautant au-dessus de sa tête, je transperçai, son crâne de mon nouveau « sort ». Ainsi, je deviens Champion de l'arène de Rercis et mon maître devint immensément riche. Mais il désirait plus et lorsque mon titre de champion dura trop longtemp pour être profitable aux paris, il me fit porter son trophée, le masque du champion.
Pour que nous ayons des chances de gagner davantage d'argent, il me fit changer de costume et d'arme, me faisant même apprendre des nouveaux styles de combat pour que mes mouvements ne soient jamais les mêmes. Je devins son héritage à son fils puis à sa petite-fille. Je regagner mon titre à chaque que mon « prédécesseur » mourrait de maladie ou de vieillesse. Pariant via mes alias pour pouvoir racheter l'ensemble des esclaves puis assez pour racheter à la noblesse en crise l'arène complète. Ayant juré de protéger sa descendance, sa petite-fille me libéra de mon statut d'esclaves, elle ne pouvait de toute façon pas supporter l'arène tant le meurtre gratuit, le sang et la souffrance le rendaient malade. C'est sûr que perdre conscience à chaque goutte de sang ne donne pas envie de mettre les pieds dans un abattoir « sportif ».
Lorsqu'elle perdit la vie sans laisser d'héritier, je fis valoir mes lettres de droits, l'arène était mienne, les animaux ainsi que quasiment tous les esclaves présents. Certains tentèrent de m'arrêter en faisant valoir leur statut de noblesse, mais la nouvelle dynastie tournée vers le progrès accepta mes idées de fonder la guilde de mes rêves avec enthousiasme. J'ai rendu la liberté à tous les esclaves, les rendant membre de ma guilde, une guilde indépendante ayant pour but de protéger ceux qui ne peuvent le faire eux-mêmes. Une branche de la guilde des érudits me fit part de leur souhait d'investir des ruines et la paie était conséquente, ma guilde de combattants entraînés accepta sans rechigner. Cette expédition fut la première d'une longue liste qui continue de s'allonger encore de nos jours. Explorant les recoins inconnus de Dylisia aux côtés de nos camarades, affrontant les animaux dangereux et même deux abominations. Notre réputation s'est rapidement établie.
J'ai fait de la Guilde des Aventuriers ma maison, ses membres ma famille, je suis le père de cette famille, le maître de cette guilde.
Marques ou objets particuliers (tatouage, armes, bijoux...): Son torse et ses bras sont couvert de tatouages et de cicatrices, trace d'une vie d'épreuves et de défis.
Un petit mot pour le forum: CHEESE FOR EVERYONE ! Except you...
Multi-compte ? : Ouaip, Baal Mephiston et Zul'khar.
Niveau de rp (Jamais fait de rp/Débutant/Moyen/Avancé, plus le temps passé à rp): Je hais cette question...Entres nul à pleurer et génialissime ça va ? (au pire moyen par défaut)
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Lun 20 Oct - 15:45
